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GAMOU NDAR : Samedi 26 Mai 2012 , Mission Pour une commémoration digne de la stature de son illustre Fondateur et Parrain : Khalifa Ababacar SY ( RTA)




Saint-Louis, la ville qui a vu naitre Serigne Babacar SY RTA , accueille ce Samedi 26 mai 2012 la nouvelle édition de son Gamou Annuel. Dans ses poèmes, Serigne Babacar Sy aimait dire avec fierté : « NDAR GUIMA DJOUDÖ, LOUGA GUIMA YARO, TIVAOAUNE GUIMA NËK » Ndar où je suis né, Louga où j’ai grandi, Tivaouane où je suis ». La première capitale du Sénégal offrait à l’époque un cadre propice à la pratique de l’islam, connaissant le caractère cosmopolite de la cité, très jeune, le jeune Babacar s’imposait dans sa dimension comme le confirme son célèbre poème qu’il écrivit très jeune, sous forme de carte d’identité spirituelle : « Wa INANI KHAD KOUNETOU MINE EUHLI NDARI, WAMASKANÏ BIHAA LADA RÏ ANEDARÏ ISSNÄNI ARBAHOÜNA KHOUL ZAKAL ÄDAD .LA MINERATA DÄRÏ IZÄ ROUMTAL MADAD. (Moi (Babacar Sy), je suis de la ville de Saint-Louis, Mon adresse est la Rue André Lebon , Demande le 42, ceci est le numéro (de sa villa), Rends moi visite si tu veux bénéficier de faveurs divines) »



GAMOU NDAR : Samedi 26 Mai 2012 , Mission  Pour une commémoration digne de la stature de son illustre Fondateur et Parrain : Khalifa Ababacar SY ( RTA)
HISTORIQUE DU GAMOU NDAR

Plusieurs décennies se sont écoulées depuis la fondation en 1955 du Gamou Traditionnel de Ndar par le Vénéré et Regretté Khalifa Ababacar SY (Qu'Allah l'agrée). Ce qui allait devenir l'un des évènements majeurs dans la vie de la prestigieuse cité du Nord trouve sa légitimité dans l'autorisation spéciale (Iznoul Khass) donnée par Khalifa Ababacar SY (Qu'Allah l'agrée) à Serigne El Hadj Madior CISSE et à la Dahira qu'il présidait : la Dahiratoul Mouttahabbiina Fillaahi ( la communauté de ceux qui s'aiment en Dieu ).Parmi les principes qui constituent les piliers de ces grandes assises de l'Islam, trois méritent d'être cités. Inspirés par le fondateur vénéré, ils se révélent comme les secrets de la pérennisation de cette institution :

A Serigne El Hadj Madior CISSE qui avait sollicité de lui l'autorisation d''organiser ce gamou au nom de la dahira, le Khalifa Ababacar SY avait répondu : « Mon agrément est soumis à la condition que vous le réalisiez avec les moyens de votre dahira, sans rien solliciter de personne et que vous vous engagiez à partager les repas avec tout le monde sans discrimination entre ceux qui vous ont soutenu et ceux qui ne vous ont pas soutenu. Si en revanche, une personne consent à vous soutenir de sa propre initiative, acceptez sa participation ».

A Serigne El Hadj Madior CISSE qui lui avait demandé de quoi il pourrait entretenir l'assistance, il avait répondu : « Parlez-leur de la charia et si possible, ne prononcez même pas mon nom ».A tous ses talibés et proches, il avait recommandé : « Je ne vous envoie pas à un gamou mais à une mission. Quiconque ne se rend pas à cette manifestation, qu'il éprouve de la pudeur à se manifester devant moi le lendemain du gamou ».Esprit de sacrifice et solidarité, humilité et attachement aux valeurs islamiques, tels sont les principes qui sont à la base de cette mission hautement islamique.

Les assises de Saint-Louis étaient le cadre de lancement de cette mission et sont l'opportunité offerte annuellement pour renouveler le pacte sacré, rendre grâce à Allah, magnifier Sa Miséricorde et exalter Sa Gloire, rendre hommage à ce Maître Eclairé et s'engager à servir l'Islam dans la voie qu'Il a tracée.

Et en tidjanes (adeptes de la confrérie tidjaniyya) et sounnites avertis, le dénominateur commun de toutes ces activités ne pouvait être que la commémoration de la Nativité du Prophète Mouhammad ( PSL ), point de départ et source de tous les bienfaits. Voilà plus de 50 ans que cette lumineuse manifestation religieuse est célébrée tous les ans à Saint-Louis par les adeptes de Serigne Babacar SY, respectant en cela les dires et la voie tracée par l'Illustre Maître. La cérémonie s'est déroulée des années durant, sous des tentes dressées sur la place Amath Ndiaye Hanne, à la Pointe Sud (Saint-Louis du Sénégal) à l'occasion de la fête de Pentecôte.

Mais la volonté qui a été pendant de longues années celle de tous les adeptes de Serigne Babacar SY d'organiser le Gamou-Mission qu'il avait lui-même ordonné, dans un cadre digne de la stature de l'Illustre Maître, cette volonté-là est aujourd'hui une réalité. Le Gamou est désormais transféré à la Grande Mosquée IHSAANE dédiée à Khalifa Ababacar SY bâtie au coeur même du quartier SUD entre la rue Maître Babacar SEYE et la rue Blaise DUMONT et bordant sur sa façade principale la rue Chassaniol. La commémoration du Maouloud a marqué, dans le même temps, la première phase de l'inauguration de la Mosquée Ihsaane Khalifa Ababacar SY son Vénéré Parrain. La seconde phase eut lieu le 30 juin 2000 à l'occasion de la première prière de vendredi qui y est tenue.

Le Maouloud Nabi est un jour béni à l'occasion duquel le Seigneur répand généreusement Sa miséricorde sur les croyants, distribue gracieusement Ses récompenses sur eux et exauce leurs prières, bref un jour qui répond parfaitement à toutes les attentes d'un croyant. C'est la raison pour laquelle les talibés (disciples) ont coutume en cette occasion de demander à Serigne El Hadj Madior CISSE de formuler les ferventes prières à l'endroit du Sénégal, de tous les Sénégalais, du Président de la République et de son gouvernement, des autorités religieuses et coutumières, pour l'unité de la famille de Seydi El Hadj Malick SY et à l'endroit de ses regrettés khalifes dans l'ordre de leur rappel à Dieu : Khalifa Ababacar, Seydi El Hadj Mouhammadoul Mansour, El Hadj Mouhammadoul Habib et Et El Hadj Abdoul Aziz SY DABBAKH (Qu'Allah les agrée).

Cette année le Gamou aura lieu ce Samedi 26 mai 2012 sous la présidence effective du Khalif General des Tidianes Serigne Mouhamadoul Mansour Sy , Serigne Cheikh Ahmed Tidiane SY Al Maktoum , sous la Présence de Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine , Serigne Mbaye SY MAnsour et de l'ensemble de la famille de Seydil Hadji MAlick Sy.





Asfiyahi.Org avec Ihssane.Org

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Mercredi 16 Mai 2012






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1.Posté par Dr Mouhamadou Bamba NDIAYE le 20/10/2011 21:33 | Alerter
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DAHIRA THIES (‘’ SÂLIHÎNE WA’S- SÂLIHÂTE’’) :
HISTORIQUE, ETAT-DES-LIEUX ET PERSPECTIVE.
(Fin d’une brouille !!!)
La DAHIRA ‘’ SÂLIHÎNE WA SÂLIHÂTE’’ (THIES) est un des très nombreux démembrements de la DAHIRA-MERE ‘’MOUTTAHABBÎNA FILLÂHI’’ (SAINT-LOUIS) ; cette dernière est une communauté Tidjane relevant de SERIGNE EL HADJ MADIOR CISSE, sur l’autorisation spéciale (idznûl qâss) de SERIGNE BABACAR SY (RAH) et sous la responsabilité actuelle de SERIGNE EL HADJ MOUHAMMADOU ABDALLAH CISSE, Imam de la Grande Mosquée IHSÂNE de Saint-Louis.
En vérité, la Dahira de Thiès ‘’ SÂLIHÎNE WA’S- SÂLIHÂTE’’ est la fusion de la DAHIRA ‘’MOUHSINÎNA’’ (les hommes) avec la DAHIRA ‘’SALIHÂTE’’ (les femmes). La Dahira ‘’Muhsinîna’’ a été crée en 1989 ; j’en suis le ‘’premier’’ membre fondateur, car c’est en tête à tête, seul avec notre maître, Serigne El Hadj Madior CISSE (RTA) que je reçus de lui le nom de la Dahira dont il m’avait demandé avec insistance de mettre sur pied et d’en être le président ; mais par ignorance, je n’avais pas respecté le ‘’ndigal’’ et avais proposé la présidence à un autre membre qui avait plus d’ancienneté, par ‘’soucis d’équité et de démocratie’’ ; il me réprimanda et me fit part des complications qui surgiraient inévitablement le jour où la présidence devrait me revenir ; il m’encouragea et pria pour moi ; mais en vérité, je n’avais rien compris de toute cette affaire, et très sincèrement, en tant qu’intellectuel, très récemment repenti, ces histoires de dahira ne m’enchantaient guère, comme tous mes congénères, bien qu’il eût insisté que cette dernière était promue à un bel avenir. Je rendis compte aux autres membres que j’avais cooptés - et rapidement la Dahira prit son envol et se remarqua par la détermination et la discipline de ses membres ; c’est ainsi que le Marabout nous avait félicités à maintes occasions - et le jour où il décida de fusionner les deux dahiras, il nous avait certifié que nous avions tous atteint la ‘’station d’Ihsaan’’ (bienfaisance), et étions donc en phase avec le nom de la Dahira (muhsinîne = les bienfaisants). En privé, il m’a confié qu’il avait dissout la dahira et déplacé le siège de chez moi, pour que les gens ne puissent pas dire, à l’avenir, que j’en ai profité pour me faire une renommée dans la Tarikha et dans l’Islam, alors que c’est Dieu qui m’a gratifié de ses grâces et faveurs. Je rappelle que quand je venais d’arriver dans la Dahira j’étais déjà dans la ‘’droiture’’ ; oui, j’étais un disciple que Dieu avait gratifié à notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE pour l’assister et le confirmer – et donc un « murâd » ! C’est donc le Marabout qui avait besoin de moi – c’est la réalité ! Telle est la volonté de Dieu ! Oui, je n’étais pas venu pour autre chose ! Et en vérité, j’étais déjà disciple de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif, avant même de prendre son Wird - et je le serai éternellement, car telle est la volonté de Dieu ! C’est l’exception qui fait la règle.
Nous rappellerons ici quelques événements importants dans notre parcours très chaotique : En 1989, en pleine retraite spirituelle, notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE, envoya un émissaire à Thiès (Serigne El Hadj Babacar DIAGNE) pour annoncer une bonne nouvelle à ma mère - et devant témoin : il s’agissait d’une faveur imméritée que j’avais reçue dans la mission de Serigne Babacar SY. Et toujours selon le Marabout, rien ne pourra plus se faire dans la région, en ce qui concerne la Tarikha, sans ma participation. Beaucoup plus tard (15 ans après), en 2005, à une semaine du Maouloud (commémoration de la naissance du Prophète – PSL), le Marabout m’appela. Quand je vins devant lui, je m’accroupis à terre, comme à l’accoutumée. Et aussitôt, il me demanda avec insistance de me lever et de m’asseoir sur son propre fauteuil. Je refusai instamment ; il insista et je persistais dans mon refus ; finalement je lui demandai de me l’accorder. Après une pause, il me répondit : « Je te l’accorde … C’est Dieu qui t’a gratifié ce que tu as. Certains en sont jaloux, mais ce n’est pas moi qui te l’ai donné. Oui, c’est Dieu qui te l’a donné, nous devons lui en rendre grâce ». Puis il pria longuement pour moi. Et tout cela devant son fils et ‘’bras droit’’, Serigne Babacar CISSE – Un illustre témoin ! Ainsi, notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE, venait encore une fois de m’honorer et de me ‘’confirmer’’ de façon subtile, car, en vérité, je suis l’une de ses preuves les plus décisives, chargé de le confirmer comme le Mahdi.
Compte tenu de tout cela, j’ai dû prendre de la distance par rapport à toutes les activités de la Dahira, pour un problème d’agenda très chargé et du fait de la complexité de la mission que j’ai l’insigne honneur de piloter depuis près de 19 ans. Et par la grâce de Dieu, je m’en suis honorablement acquittée ; en effet, j’ai déjà apporté toutes les preuves pour confirmer notre maître comme le Mahdi, en élucidant - avec des arguments tirés du Coran et de la Tradition du Prophète (PSL) - la fameuse et redoutable parabole du Vénéré Khalife, Serigne Babacar SY : « Je ne vous envoie pas à un Gamou, mais à une Mission !!! ». Et véritablement, c’est cette parabole, devenue notre devise, qui doit guider toutes nos démarches, nous tous, tant dans la Dahira, la Tarikha que dans l’Islam, d’une manière générale.
Ainsi, après m’avoir acquitté de cette mission combien difficile, mais aussi combien exaltante, j’ai accepté de renouer avec la Dahira, sur la demande de Imam Mouhammad Abdallah CISSE - à qui notre Maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE a confié la responsabilité de la Grande Mosquée et de toutes les Dahiras -, afin d’apporter ma contribution, aussi modeste soit elle, pour assister et renforcer mes ‘’jeunes frères’’ qui, pendant toute mon absence, n’ont ménagé aucun effort pour maintenir le cap fixé par notre maître. Et c’est dans cette perspective que j’ai délivré ce message (audio) que j’ai mis en ligne, afin d’éclairer la lanterne de tous mes condisciples et de les convaincre que nous avons le même combat. Ainsi, en tant que ‘’Porte-parole’’ de la mission, je viens tout simplement assister Imam Mouhammad Abdallah CISSE, comme notre maître me l’avait demandé, en privé - ainsi que ses illustres frères : Serigne Babacar CISSE, - à qui notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE, a confié toute l’intendance de la mission et ce n’est pas une mince affaire ! ; Professeur Abdallah CISSE qui est l’auteur de tout ce qui est écrit dans le site internet de la Dahira ‘’Mouttahabbina fillahi’’ (http://ihsaane.org) et du livre ‘’Musulmans, pouvoir et société’’ (Dits et écrits de Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE) publié par l’Harmattan ; il a encore, à l’évidence, beaucoup de choses à nous apporter. Et comme, notre maître le rappelait souvent, personne de ces trois ne peut aller sans les autres ; ils sont, ainsi que votre serviteur, les seuls qui ont reçu l’autorisation, de lui, de donner le wird. A l’évidence, n’eût été mon ‘’intrusion’’ dans cet organigramme, on aurait reproché à notre maître d’avoir finalement instauré une dynastie, à l’instar des ‘’Sy’’, ‘’Tall’’, ‘’Niasse’’, etc – une déviance qu’il a toujours combattue. En vérité, notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE est le dernier ‘’Khalife de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif’’ ; ainsi quelque sera notre renommée (et nos dons), nous ne pouvons être que ses vicaires attitrés (des ‘’mouqadams’’ spéciaux), condamnés à œuvrer ensemble pour mener la barque à bon port – Et en vérité, il n’y a pas plus grande faveur que celle d’être des serviteurs du Mahdi ! Qu’Allah augmente sa grâce sur notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE ; qu’Il fasse que nous soyons unis et soudés, afin de lui parachever la mission que le Vénéré Khalife, Serigne Babacar SY lui a confiée (en 1955) ; et que nous assistions tous à l’inéluctable aboutissement de la mission qui sera, incontestablement, notre consécration et celle de tous nos maîtres, jusqu’à Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif et au Prophète (PSL). Amine !

Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (*)
Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar
Pédiatre à Thiès
Recteur de l’Université Virtuelle ‘’La Sagesse’’ de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan – Bienfaisance (Thiès). (http://sites.google.com/site/universitevirtuellelasagesse/)
(*) Rétro confirmateur du Mahdi, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE, Khalife de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif – le ‘’Sceau des Saints’’ (le ‘’Christ de la Parousie’’). (http://sites.google.com/site/missionmahdi)
http://sites.google.com/site/dahirathies/

2.Posté par ngalla gueye le 01/06/2013 18:04 | Alerter
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bamba nndiaye arrete tes analogies l histoire ne ment pas nous etions tous la a st louis sur les 2 gamous qui devaient se tenir a st louis les gent savent que cheikh ahmed tijan sy a ete et restera toujour le khalif de seydi aboubacar sy il ne faut pas polluer notre site avec tes tapales

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