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Asfiyahi.Org - Islam Tidjaniyya Sénégal

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 ABDOUL AZIZ NDIOUCK
Vendredi 25 Janvier 2013

Notez [Ignorer]
Sublime Fèz

J’ai toujours pensé, longtemps rêvé à tes senteurs,
Tu m’as ouvert tes portes en ce jour riche de lueurs.
C’est l’osmose jamais imaginée dans sa splendeur,
Entre réalités et sacralité, qui m’a ravi le cœur.

Je chante les labyrinthes de Fèz, le bienfaiteur,
Terre qui a accueilli l’érudit et grand penseur.
Permets-moi de sublimer ce que tu as de meilleur,
Que ma plume ne peut transcrire à sa juste valeur.

Fèz, la porte des eaux, où git l’humble serviteur,
At Tijanni, celui qui a reçu merveilles et faveurs.
Sainte refuge, tu abrites les trésors du sauveur,
Que la nature, peine à dissimuler au visiteur.

Fèz, à l’image de ton illustre hôte, tu fais peur,
Aux égarés qui nient ton mérite et son ampleur.
Tu es l’élue de l’élu de son maître et protecteur,
Qui éclaire à jamais le trajet de son successeur.

Cité bénie, de la zawiya, tu rends grâce au Créateur,
Louant sans cesse son envoyé, l’unique intercesseur.
Telle une émeraude, tu luis de pureté et de douceur,
Tu peux raviver la foi ébranlée par la pire terreur.

Fèz, la lumineuse, tes ruelles rayonnent de bonheur,
Qui illumine sans doute nos séjours, de vives couleurs.
Des « medersas », d’où fusent saints écrits en chœur,
Les litanies des enfants distillent la bonne humeur.

Fèz, ville aux charmes ancestraux, tu sues la ferveur,
Provenant des sources aussi éloignées de la clameur.
Témoin de l’histoire, ta médina résiste avec vigueur,
Comme si elle tenait encore à son immense honneur.

Tes effluves jaillissent et arrosent en profondeur,
Charriant la fertilité sur ce paysage enchanteur.
Parce que tu as donné ton sol à ce digne adorateur,
Tu ne récoltes que les largesses de ton Seigneur.

Fèz, l’éternelle, dissipe chagrins et douleurs,
Ouvres-nous tes flux comme un pétale de fleur.
Témoigne de notre fidélité au guide salvateur,
Qu’il nous élise parmi les siens d’ici et d’ailleurs.
Abdoul Aziz Ndiouck
 Alioune NDIOUCK
Lundi 28 Janvier 2013

Notez [Ignorer]
Ce poeme sublime a tout point de vue-pour le profane en litterature que je suis-me fait envier ceux qui ont eu l'immense privilege d'avoir sejourne a FEZ.
En le lisant ,je me suis senti touche par ces flux dont l'auteur parle.
Mais je me sens triste et plein de chagrin pour n'avoir pas ete en mesure jusqu'a ce jour de fouler ce saint lieu.
Ce poeme me rappelle les sensations que des choisis m'ont affirmees avoir eprouve quand ils ont foule la terre de FEZ.
Et je ne parle pas des sentiments indescriptibles qui les ont habite devant le mausolee du Souffre Rouge.
Heureux vous qui avez pu vous agenouiller devant la sainte sepulture du Cheikh.
Je me sens jaloux.
De vous.
D'eux.
Mais merci pour ce joyau qui fait immensement honneur au nom que vous portez.
Je me sens fier et prie pour que vous nous produisez encore des textes de cette saveur particulierement tidiane.
Puisse ALLAHOU SOUBHANA WA TALLA NOUS DISSOUDRE DANS LA TARIQA TIDIANE.

Alioune NDIOUCK, membre de la SECTION DE PIKINE DAROUKHOUDOSS
DE LA FEDERATION DES DAHIRAS SOPE NABI DE SERIGNE ISSA TOURE
 ABDOUL AZIZ NDIOUCK
Lundi 28 Janvier 2013

Notez [Ignorer]
Cher condisciple
je vous remercie de ce témoignage.
Qu'Allah exhausse ton voeux de s'agenouiller un jour sur le mausolée de Seydina Cheikh, notre guide bien aimé. Amine.
Cordialement.

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